Liste des personnages (à mettre à jour)

Grande, très mince, cheveux noirs courts (coupe à la garçonne), yeux très verts, peau assez pâle. Ne porte jamais de jupes/robes.

Froide, intelligente, effacée, cependant quand elle se sent en confiance, elle peu parler longtemps. Mais à justement du mal à faire confiance aux gens. Aime les activités "intellectuelles" et déteste tout ce qui est sportif. Un peu stratège. Aime manger, lire, écrire dans un carnet de bord qu'elle ne quitte jamais. Aime aussi contredire les gens et adore avoir raison, déteste avoir tort.

Ophélie est une jeune fille joyeuse et extravertie, très naïve. À ses 11 ans, ses parents sont morts. Ils lui laissent à charge un jeune frère de 6 ans. Après un an de misère et de difficultés ses pouvoirs apparaissent. Elle les garde secrets, mais s'en sert pour intégrer les Corbeaux. Alors que tout le monde s'attendait à ce qu'elle ne survive et échoue dans ses missions, elle réussi mystérieusement (grâce à ses pouvoirs donc). Avec l'argent gagné, elle place son frère dans une pension. Malheureusement, elle se fait des ennemis au sein du gang et ailleurs, et son frère est tué sur ordre, dans le but de la faire cesser ses activités criminelles. Cela la fait rentrer dans une envie de vengeance, elle devient froide et déterminée. Lorsque le gouvernement révèle aux Corbeaux l'existence des pouvoirs et l'engage pour la chasse des dits enfants, elle continue de cacher ses pouvoirs, car elle n'a pas confiance en le gouvernement et veut conserver sa liberté. Malheureusement, des soupçons germent à son égard. Elle finit par être démasquée en emmenée dans le centre.
Détails obligatoires: Elle vient d'un village paumé au milieu de la campagne, où parents travaillaient beaucoup, mais l'ont élevé correctement. Son frère était jeune et aussi naïf qu'elle, elle l'adorait. Quand elle à découvert ses pouvoirs, elle a été intriguée au début, puis très heureuse: elle avait toujours aimé les contes, quand elle était enfant (elle a l'impression de remonter des siècles en arrière, quand sa famille était toujours là). Quand elle a été amenée au refuge, ce n'est pas tant la trahison de ses "camarades" qui l'a blessé, mais la perte de sa liberté, qui l'a fait enrager. Elle déteste le refuge, elle y est très "rebelle". Elle parle à peine aux autres "pensionnaires", et est très agressive envers le personnel.

Lyse n'est pas imposante, mais toute sa douceur se ressent juste par un sourire sur son visage. De taille moyenne, autour des 1m65, aux long cheveux blonds,
elle illumine tout ce qui se trouve à sa portée. Descendante d'une longue lignée de sportive, elle possède une excellente santé et un physique à toute épreuve. Les sourcils légèrement foncés, de douces lèvres roses et de perçant yeux bleus, elle est considérée comme très belle par nombre de ses confrères. Lyse a le physique qui se rapproche le plus d'une mère,
légère poitrine, taille large et yeux aussi doux qu'une simple brise. Bien qu'elle paraisse au premiers abords très fragile, les entraînements le long de sa vie n'ont fait que la renforcer physiquement, ayant développé une endurance et une force à toute épreuve durant sa carrière passée. Son côté maternel ressors moins du côté de ses blessures, possédant quelques cicatrices, dont une étrange au niveau du cou, le physique de Lyse semble posséder des secrets que personne ne peut encore déceler.

Lyse est une grande bavarde, elle aime rassurer et câliner ce qui passe à sa portée. Pourtant, elle n'est reste pas naïve pour un sous, son passé trop hanté de malheur lui fait à chaque moment de sa vie voir un jour meilleur. Optimiste et à l'écoute, Elizabeth sait être entendue et aimée des enfants comme des adultes. Rayonnante, apparaissant toujours avec un grand sourire rassurant, elle s'est juré de pouvoir toujours aider ceux dans le besoin. Elle est aussi patiente, attendre et ce qu'elle sait faire de mieux,
mais sa patience se fait aussi dans la douleur, supporter la souffrance est une chose qu'elle a fait trop longtemps. Elle ne peut se passer d'aider ou de rassurer, surtout des enfants dans le besoin, elle leur fait confiance comme à jamais personne, et leur bonheur et leur santé sont ce qui lui importe le plus au monde. Son optimisme est une aubaine pour ceux et celles qui sont à ses côtés, elle ne laisse jamais tomber et n'abandonnera jamais un camarade derrière elle sur le champ de bataille.

Cependant Lyse n'est pas parfaite, bien loin de là. Si son sourire et son optimisme on pu la sauver elle et ses compagnons plus d'une fois ça n'a pas toujours été le cas. Lyse voyant le bien dans tout le monde, et faisant confiance bien trop vite, certains se sont déjà servis de sa gentillesse à des fins bien loin de ce que la jeune femme pouvait imaginer. Elle est aussi dans l'incapacité de faire du mal à un enfant, bien que celui-ci puisse s'avérer dangereux pour tout les autres, si elle a décidé de l'aider et de le sauver, elle mettra sa propre vie en danger pour y arriver.

Tenby est une petite ville côtière du Pays de Galles, au sud qui fait face à la côte de l’Angleterre. Tranquille et colorée, la petite ville était un véritable havre de paix pour ses habitants.
C'est dans cette ambiance que naît en 2055 Elizabeth Deckard, aussi appelée Lyse par ses proches. Fille d'Isabella Deckard et Richard Deckard, tout deux médecins, Lyse est élevée comme une vrai princesse, fille unique de ces deux génies de la médecine. Depuis sa tendre enfance, elle aime les balades en famille, jouer avec ses amis, l'air frais sur sa peau,
la brise le matin, les coucher de soleil sur les plages galloises. Elle vit un véritable rêve toute son enfance, petite fille modèle à l'école, aimée de ces camarades et de ses professeurs,
ses parents la destinent très jeune à une grande carrière dans la médecine, domaine qui passionne la petite fille. Le pays de Galles, bien que faisant parti du Royaume-Uni, restait la plupart du temps extérieur à la géopolitique du monde et aux conflits qui les environnait. Pourtant tous en purent échapper à la guerre mondiale totale qui éclata en 2065.

Lyse n'avait que 10 ans, lorsque ces parents furent dépêchés sur les champs de bataille, pourtant même 14 après, elle se souvient d'encore tout les détails. Sa vie qui fut un rêve durant ses 10 premières années, vira au cauchemar qui détruisit la jeune galloise. Elle se rappelle de ce matin de février 2065, lorsqu'elle dû, hurlant, les larmes au yeux, laisser partir ses parents dans l'incompréhension la plus totale. Elle ne comprenait pas, et ne put comprendre de si tôt pourquoi cette guerre lui enlevait ce qu'elle avait de plus cher au monde. Sans parents pendant la guerre, Lyse fut envoyée dans un camp d'éducation tenue par l'armée anglaise, recueillant les enfants et pupilles des militaires. Le conflit avait détruit ce que Tenby était par le passé, plus de couleur, plus de havre de paix, en restait que des ruines fumantes, ruines d'un passé qui personne n'oubliera jamais mais qui a disparu pour toujours. Lyse grandi dans ce camp, près de Ulverston, dans le Nord de l'Angleterre, paumé au milieu de nul part. Elle n'eut que très peu de nouvelles de ses parents, les seules auxquelles elle pouvait vraiment accéder restait des confirmations des militaires que ses parents étaient toujours en vie. Mais comment les croire ? Comment croire ceux qui avaient emmenés ses parents si loin d'elle ? Comment croire ceux qui la retenait ? Elle ne le pourrait malheureusement jamais.

Jusqu'à ces 16 ans, Lyse fut une élève modèle du camp, excellente élève, autant intellectuelle que sportive, elle fut vite remarquée par les haut gradés. Son nom ne pouvait rester à jamais inconnu, depuis toujours, les Deckard étaient une famille de militaires ou de médecins de renoms, n'ayant jamais déçu leur patrie. Cependant Lyse n'avait aucune envie de se battre ou de défendre les quelconques valeurs de ces anglais qui lui avaient tout pris. Mais son rêve était d'aussi pouvoir participer au conflit, de pouvoir mettre à l'oeuvre ses dures années de labeurs en tant que jeune femme médecin de l'armée. Mais rien ne fut facile pour elle, si elle continuait à recevoir régulièrement des lettres de ses parents, elle n'avait pour autant jamais renoncés à les rejoindre. Le conflit détruisait tout, famille, amitié, amour, et Lyse ne pouvait laisser cela se faire sans qu'elle puisse intervenir.

A 18 ans seulement, première de ses classes et remarquable en cours, Lyse fut envoyé près de Liverpool où un conflit avait éclaté depuis quelques mois. Sa mission ? Secourir avec son groupe de compagnons d'armes un régiment entier de l'armée anglaise coincé au milieu de la ville par un groupe de rebelle. Elle était ici le médecin de l'équipe, ange gardien qui veille sur ses coéquipiers, toute sa vie, tout son travail prenait enfin du sens ici... Le mission fut une victoire retentissante pour elle et son équipe, pourtant, bien qu'elle fût décorée par l'armée, Lyse ne parle jamais de ce qu'elle a vu ou entendu ce jour là. Mais ce jour ne fut pas vain pour la jeune femme, dépêchée dans 3 autres villes la même année, elle enchaînait les missions sans même sembler se fatiguer, son optimisme et courage menant ses compagnons de l'avant à chaque bataille, n'abandonnant jamais un soldat derrière elle. Pourtant Lyse semblait se fatiguer et se détacher de l'armée au fur et à mesure de ces missions, plus elle y participait, moins elle sentait qu'elle aidait plus qu'elle ne tuait. L'armée n'était plus l'idéal qu'elle en avait eu étant plus jeune, et cette armée, même le jour de ses 21 ans, ne lui avait toujours pas rendu ses parents, perdu au milieu d'un conflit mondial qui n'en finissait plus.

Maintenant responsable et adulte, gradée adjudante et médecin de guerre à ses 22 ans, Lyse abandonna peut à peu les missions et l'armée pour se tourner elle-même vers ses projets.
Ses généraux avaient dû mal à laisser partir une tel atout pour leur armée, souhaitant que même si elle ne soit plus envoyée en missions, elle reste près d'eux pour élever une nouvelle génération de soldats. La jeune femme refusa catégoriquement, elle souhaitait apprendre aux futures générations à s'aimer et à s'aider, et non pas à tuer et se déchirer comme le monde l'avait trop longtemps fait. Pourtant l'armée ne vu pas de cet œil la décision de Lyse, et refusèrent tout simplement qu'elle quitte la base de Cambridge où elle travaillait. La jeune femme senti le mauvais coup qui était sur le point de lui être jouer, elle connaissait que trop bien l'armée et savait qu'un membre qui refusait de coopérer était un membre déjà enterré.
Il ne fallut pas plus de temps à la jeune femme pour prendre la fuite vers le Canada, aider d'anciens compagnons de combat qui partirent avec elle. Depuis ce jour de mai 2077,
à 22 ans, Lyse parcouru la terre dévastée, souhaitant plus que tout aider ceux dans le besoin, sauver orphelins comme adultes.

En Avril de l'année 2079, Lyse était toujours en fuite, pourchassée par l'armée anglaise qui n'en avait pas fini d'elle. Réfugiée en Espagne, près de Cordoue, avec un groupe de rebelle,
elle reçu une missive anonyme. D'abord surprise, Lyse reconnu très vite le style d'écriture et la marque qui était inscrite au coin de la lettre.

« Elizabeth Deckard,
Votre fuite n'a dorénavant aucune autre raison valable que de ne pas répondre à nos bonnes propositions. Le Général Assaenhauer sera à Cordoue dans 3 jours, nous savons où vous êtes, et les hostilités n'ont que trop duré, nous avons un nouvelle mission pour vous soldat. »

Depuis quand savaient-ils ? Longtemps elle supposa, si ils avaient pu la retrouver si facilement, une taupe ne devait pas être loin. Quelle était cette mission dont ils parlaient, pourquoi la poursuivre si longtemps pour un simple papelar pour un « soldat » comme ils l’appelaient si bien. Lyse ne savait vraiment quoi faire. Depuis quelques mois maintenant, elle n'arrivait plus à suivre la cadence des blessés qui arrivaient de plus en plus nombreux auprès d'elle, elle ne trouvait plus sens à sa fuite. Alors elle irait, elle irait voir son Général, elle irait répondre à cette mission.

La jeune femme se rendit à la base même posée par les anglais, à l'extérieur de Cordoue, ne serais-ce que revoir ces simples uniformes et marches au pas la dégouttait, pourtant cela faisait parti d'un passé qu'elle ne pouvait renier. Elle rencontre la général au matin même, celui-ci fut comme surpris de la voir débarquer dans son bureau. D'abord abasourdi, il se lança dans un long monologue, lui proposant sa nouvelle « mission ». Visiblement, il s'agissait de gérer un refuge construit par ce qui restait de l’Europe pour accueillir les jeunes surdoués. Ces jeunes enfants, ayant inexplicablement développés des pouvoirs suite à la guerre. Lyse en connaissait, elle en avait même gardés et protégés durant ces deux années de fuite. Elle savait à quel point ils étaient en danger, livrés aux sauvages que la plupart des humains étaient devenus, à juste titre dans un monde dévastés par la guerre, la famine et les maladies. Lyse ne pu se résigner à refuser, cependant elle désirait avoir plus d'informations. Comment procédait les Corbeaux ? Pouvaient-ils promettre qu'aucun mal ne serait fait aux enfants ? Aurait-elle une droit d'opposition si jamais du mal venait à leur être fait ? Pourrait-elle simplement les protéger ? Le général resta muet quand à la plupart de ces questions, il lui indiqua qu'elle serait en charge de la zone infirmerie, médical et de s'assurer de la bonne santé et du bon développement des pouvoir des enfants. Elle accepta.

Lyse fut envoyée au Refuge presque aussitôt, elle n'était pour le moment que la seule médecin sur place. Très peu d'enfants étaient là pour le moment, elle ne pu distinguer que quelques visage familiers, mais ne pouvait encore aller à leur rencontre. Les militaires lui indiquèrent son bureau, sa zone de travail, et les droit dont elle disposait. C'était bien plus qu'elle ne l’espérait, pourtant, certaines zones et informations lui restaient dissimulées, bien qu'elle n'aimait pas cela, elle ne discuta pas plus.

Lyse descendit dans le self, dans l'espoir d'y trouver quelque chose à manger. Là dînait plusieurs enfants, elle s'en approcha doucement, souhaitant voir de plus près avec qui elle partagerai sa vie maintenant. Un silence lourd pesait à table, les petits ne levèrent même pas la tête pour la regarder. Elle n'insista pas plus et se mit en bout de table pour ne pas les déranger. Ses yeux les observait cependant, notant leurs moindres gestes, leurs tocs, leurs rictus. Elle sourit doucement, peut-être avait-elle enfin trouvé où elle pourrait vraiment être utile à l'humanité après tout. Une douce voix ce fit entendre près d'elle ;

" - Tu t'appelles comment ? "

La voix venait d'une jeune fille à sa droite, très grande et mince, au cheveux noirs coupés court. Elle lui sourit ;

" - Elizabeth Deckard, je suis médecin, mais tu peux m'appeler Lyse si tu le souhaites. "

La jeune fille sembla dubitative, mais finit par répondre ;

" - Moi c’est Ophélie, enchantée.
- Enchantée Ophélie, souffla Lyse. "

Miranda possède des cheveux long et roux tirant sur le rouge, méchés par du blond. Ses yeux sont bleu clair et pourvus de long cils noirs, son regard est vagabond mais aussi doux que celui d'une biche. Elle est mince, teint crème avec une taille autour des 1m60. Miranda a une bouche pulpeuse colorée avec une touche de prune mat, elle sourit souvent. Miranda a une peau tachée de bleus, ils apparaissent la nuit et personne n'a idée d'où ils proviennent. Sa poitrine est presque inexistante, elle est serrée dans sa combinaison anti-radioactivité. Cependant, ses camarades trouvent qu'elle a quelque chose de spécial, comme un aura.

Miranda n'est pas fairplay, elle plutôt peste et envieuse. Elle n'a pas de qualités apparentes, ses défauts cachent son bon coeur. Sa légendaire jalousie et sa colérique attitude, la rendent esseulée des autres. Miranda est jeune et pleine de vie, intelligente et saine d'esprit, pourtant ses longs discours lui font une réputation de bavarde et de bonne parleuse. Personne ne doute de sa sincérité, mais elle ne l'utilise que rarement. Beauté fatale, Miranda aime piéger les gens et se faire pardonner avec des yeux doux. Elle se repente toujours, mais elle garde précieusement sa vengeance à l'intérieur d'elle-même.

Jeune et rebelle
Saine et Frêle
N'oublie pas ma chère Miranda,
que tes parents partis rejoindre le firmament
t'aiment toujours autant...
Miranda relit ce texte chaque soir avant de s'endormir, ce sont les derniers mots de sa mère défunte. C'est cela qui la rend forte et interdite. Elle n'aime pas les gens, elle n'aime pas la vie mais elle tient grâce à ça.
Miranda est née en 2066 à New York, pendant que la guerre contre la Terre dévastatrice faisait rage, elle y a donc perdu quelques années plus tard, sa chère et tendre maman. Son père est parti avant sa naissance, c'est donc un inconnu pour elle. Miranda était grande soeur en 2069, mais une explosion de centrale nucléaire a exterminé sa mère et sa soeur. Miranda a eu une force d'esprit et n'a versé aucune larme. La petit fille de trois ans est partie de sa maison en ruine, mère et soeur sous les décombres. Miranda a marché jsuqu'au centre-ville encore fumant des vapeurs toxiques. Des pauvres gens s'étalaient sur les trottoirs du quartier du Queens, ils souffraient tous d'une quinte de toux avant de s'éteindre à jamais. Seul, une personne s'est arrêtée, elle est sortie de nul part. Cette inconnue a emmené Miranda loin d'ici, rassurée la petite s'était endormie dans les maigres bras qui la portait avec une peine visible. Avant un lourd sommeil, Miranda avait aperçu un visage pâle et sale d'une femme asiatique, et des yeux charbons qu'elle n'oublierait jamais.
En se réveillant, Miranda était pétrifiée par le froid qui envahissait la pièce où elle était installée. La même femme était avec elle, elle brossait ses cheveux ébène délicatement. Miranda se sentait plus grande et plus mûre. Elle croyait se souvenir de livres, d'instruction, et de l'amour infini d'une mère. Miranda avait peur, mais elle se tut. La femme se leva et lui dit si gentiment :
-Je m'appelle Anaka Trakï, je suis ta sauveuse.
Ces mots résonnent encore dans la tête de Miranda, ce fut les seules paroles de la mystérieuse sauveuse. Elle se leva, et sortit. Miranda vu le plus beau paysage de sa vie, un monde qui n'avait pas été touché. De la neige, partout, des cascades gelées les entourait. Puis, elle se souvint, elle re-rentra, pris le néscéssaire ; eau, vivres et puis elle partit. Anaka pleura longtemps son départ et son ingratitude. C'est ainsi, que Miranda apris qu'elle était en Laponie. Elle marcha des jours, des semaines, des mois, des années avant de retrouver le chaos. Au bout du 13600ème jour de marche, la colère la gagna. Une lueur s'alluma dans ses yeux, une flamme sortit de sa main, et en feu, affamée, assoifée, elle s'effondra au millieu des décombres de sa vie.
Inconsciente, on l'emmena au refuge des enfants, on la soigna avec tendresse jusqu'au merveilleux jour où elle se réveilla. Une odeur de brûler l'enveloppait, une fille était près d'elle et la scrutait avec attention. La colère remonta, elle était au refuge, là où les pauvres enfants de la guerre venait.
-Bonjour toi, je suis Ophélie. dit la jeune fille
-Va t'en !
Sèche et froide, tel sera Miranda.

Pas très grande, assez mince, elle fait plus jeune que son âge. Sa peau est pâle et son nez aquilin. Ses cheveux sont souples, blonds, longs jusqu’aux épaules, jamais très bien coiffés. Elle a des yeux noirs, en amande, son regard est vif et lumineux en toutes circonstances.

Jana est une petite fille intelligente, drôle et très gentille. Elle est sociable et extravertie, elle souhaiterait être amie avec le monde entier! Elle cherche toujours le positif et a constamment le sourire. Elle aime amuser la galerie, chacune de ses interventions illumine le Refuge. Elle aime le rouge et les choses mignonnes.

Née 4 ans après la fin de la guerre, ses parents ont tout fait pour lui cacher ce qu’il se passait dehors. Ils l’ont élevé dans une grande maison dont elle n’est jamais sortie, pour qu’elle ne voit jamais personne. Jana passait ses journées seules à rêver et à jouer avec ses poupées. À 6 ans, elle découvre ses pouvoirs, elle est alors intriguée, mais considère ça comme une nouvelle source d’amusement.
À 8 ans, alors qu’elle mène une vie paisible et heureuse malgré sa solitude, ses parents partent de la maison. Ils ne lui laissent qu’une courte lettre: « Jana, nous t’aimons beaucoup mais nous ne pouvons plus te cacher. À bientôt, peut être. ». Durant des semaines, elle apprend à se debrouiller seule.
Puis un jour, de mystérieux hommes viennent la chercher. Les Corbeaux. Ils la trouvent, affamée, apeurée, et l’emmène au Refuge.
Elle est née dans l’Iowa, dans un village calme où personne n’a jamais été au courant de son existence. Ses parents, Alma et Peter Dove, avaient fait fortune avant la guerre, ils ne travaillaient donc pas mais sortaient beaucoup, laissant souvent Jana seule dès son jeune âge. Malgré tout, ils l’ont toujours gâtée et protégée.
Lorsque les Corbeaux sont venus la chercher elle était effrayée mais s’est laissée faire, elle se disait qu’après tout elle n’avait pas d’autres solutions et qu’elle allait sûrement s’amuser... Au Refuge, Jana est très appréciée de ses camarades grâce à sa bonne humeur. Elle s’amuse de tout et utilise son pouvoir pour organiser de nombreux jeux.

Plutôt petit (dans les 1m55), il a les cheveux roux foncé, les yeux marrons et des taches de rousseur qu'il déteste, car elles lui donnent une allure enfantine. Il se tient toujours droit dans l'optique de paraître plus grand, mais ça ne trompe personne. Il ne supporte pas qu'on lui dise qu'il est mignon quand il est en colère - bien que ce soit la vérité.

Autrefois, Moon aimait les adultes. C'était les plus impressionnés par son pouvoir, les plus flatteurs, les plus naïfs aussi. Ça peut paraître étrange, mais il est beaucoup plus dur d'impressionner un enfant; il croit à la magie comme on croit au Père Noël, ce qui rend son esprit plus résistant à la manipulation que celui d'un vieux. Les adultes, comme ils ne croient plus en rien, sont très vite étonné et leur esprit devient alors complètement influençable. Enfin ça, c'était avant qu'ils ne trahissent Moon. Maintenant, s'il manipule un adulte, ce n'est plus pour le divertir mais pour lui soutirer des informations. Confondre son esprit. Rendre réel ses cauchemars. Moon ne s'amuse plus, Moon veut faire du mal, Moon veut qu'ils payent pour les crimes dont ils sont coupables.

En compagnie des autres enfants, Moon est souriant, sociable, apprécié par le plus grand nombre. Il est un atout précieux pour le groupe d'enfants rebelles dont il fait partie: c'est lui qui se charge de l'espionnage du personnel, des filatures; sa discrétion légendaire et ses illusions en font le candidat idéal. Perfectionniste, il est capable de passer des soirées entières sur ses compte-rendus, les relisant des dizaines de fois pour être sûr de n'oublier aucun détail. Très secret, seul ses plus proches amis savent pourquoi il est incapable de parler devant un adulte et qu'il raffole de la barbe à papa.

Moon est révolté. D'accord, « la violence ne résout rien », mais quand on n'a jamais été doué avec les mots comme lui, il faut bien trouver un autre moyen de se faire comprendre. Il se dispute rarement avec les autres enfants, en revanche, ça fait longtemps qu'il a arrêté de compter le nombre de nuits qu'il a passé en « détention », en punition de son comportement violent. Rancunier et borné, il a du mal à pardonner et à accepter que les autres puissent faire des erreurs.

C'est l'un des seuls enfants à ne pas être effrayé par le monde étrange qui apparaît dans leurs rêves à tous. Il l'a renommé « le monde à l'envers », en référence à une série fantastique très populaire au début du siècle. Parfois, envieux de s'échapper de la réalité, il vole des somnifères à l'infirmerie pour explorer ce monde plus en profondeur, et essayer d'en comprendre les mystères.

Salut, Di.
C'est Moon, ton grand frère. Peut-être n'as-tu jamais entendu parler de moi, ça ne m'étonnerait pas que notre père ait (volontairement) zappé ce détail. Si tu ne me connais pas, c'est parce qu'ils m'ont chopé quatre mois avant ta naissance. J'aimerais pouvoir te dire qu'on se rencontrera un jour, mais ça m'étonnerait que les gars de 16 ans disparaissent parce qu'on les ramène chez eux, c'est pas tellement le genre de la maison.

Je me dis que je ferais mieux de commencer par le début, histoire que tu comprennes mieux qui je suis, et pourquoi je ne rentrerai pas à la maison de sitôt. Je suis né deux jours exactement après le début de la guerre, dans un territoire pacifique nommé autrefois la Suède. Je n'ai jamais connu l'ancien monde. Je suis le fils aîné d'une soldate d'élite et d'un magicien réputé; mon enfance fut partagée entre l'apprentissage des techniques de combat de ma mère et les leçons de magie (truquées, ne va pas te faire des idées) de mon père. J'ai découvert très tôt mon pouvoir d'illusionniste, et n'ai pas mit longtemps à surpasser mon père de par mon talent précoce - parce que oui, je suis capable de faire apparaître des illusions, et sans me vanter, je suis plutôt doué! J'étais tellement fier quand j'ai découvert ça que j'ai fait gambader des lapins dans le salon pendant une semaine entière. Bref, forcément, ça n'a pas plu à papa. Si je continuais comme ça, j'aurais tôt fait de lui voler sa popularité, ses fans, et en particulier ses gains. Oh, il aurait très bien pu me voler l'argent que j'aurais gagné, mais tu comprends, il était trop fier de sa réussite. En parlant de ça, une leçon fondamentale: il faut toujours être (ou paraître) humble. Plus tu as la grosse tête, et plus tu te fais d'ennemis. Retiens bien ça.

Ava est née cinq ans après moi. Elle, tu la connais forcément: calme, discrète, un peu perturbée. Sache qu'elle n'a pas toujours été ainsi. À l'époque, elle en faisait des vertes et des pas mûres (demande à maman de te raconter l'histoire des rideaux. Tu vas être morte de rire). Mais je l'aimais l'aime. On l'a kidnappée un matin de janvier, quand elle avait quatre ans. Ma mère étant à son entraînement et mon père occupé à me farcir un énième sermon, personne n'a rien remarqué et quand on papa s'est enfin décider à calmer l'ouragan pour surveiller la petite, c'était trop tard. Plus d'Ava. Les larmes de maman auraient largement pu faire doubler le volume de l'océan Pacifique. Devine qui s'étaient tout spécialement déplacés pour venir la capturer dans notre jardin? Les Corbeaux (les Pigeons, comme je les appelle). Ils avaient déjà commencé leur rafles, à ce moment-là, et quand ils ont entendu parler d'un enfant aux illusions impressionnantes, ils n'ont pas cherché très loin et l'ont embarqué. Quelle bande de débiles! S'ils avaient un temps soit peu tendu l'oreille, ils auraient entendu papa me reprocher de lui voler la vedette et auraient saisi la méprise. Bêtes comme leur pieds.

Après un an de chantage, pots-de-vin et magouilles en tout genre, le vieux a fini par les convaincre de ramener Ava. Devine comment? En leur envoyant une jolie petite vidéo de moi et mes pouvoirs qu'il avait retrouvé dans l'ordi de maman, et en leur proposant de m'échanger avec la gamine. M'man était contre, forcément, mais on peut pas vraiment dire qu'elle ait essayé de l'empêcher de faire ça (super la soldate d'élite!). J'ai essayé de fuguer, mais manque de bol, ils m'ont retrouvé deux jours plus tard, perdu dans le vieux centre commercial abandonné à deux rues de chez nous. On m'a laissé dire au revoir à ma famille (c'est comme ça que j'ai pu voir qu'Ava avait été salement perturbée par son enlèvement), et j'ai bien failli casser le nez de papa quand il m'a sorti que c'était « pour mon bien ». Super, merci papa. Avant, on envoyait les gosses à Disney, maintenant c'est le Refuge.

J'ai fêté mon anniversaire dans le train qui m'emmenait là-bas, au milieu d'autres gosses eux aussi arrachés à leur petite vie tranquille. Le trajet a été long. J'ai bien eu le temps de réfléchir, pendant ce temps; c'est comme ça que je me suis rendu compte que je n'étais plus capable de faire confiance à un adulte. Tiens, d'ailleurs, tu vas rire: depuis, je suis incapable de leur parler. Les enfants me demandent tout le temps de la fermer, mais dès que je suis en présence d'un adulte, je n'arrive plus à prononcer un mot, comme s'ils étaient bloqués. Apparemment, c'est psychologique... Dommage, ça me démange toujours vachement d'en insulter certains.

Les ados sont emmenés le jour de leur seize ans. Personne ne sait ce qu'ils deviennent. Dans deux ans, ça sera mon tour. Je n'ai pas peur - promis -, mais j'espère quand même qu'on aura le temps de s'échapper avant. J'ai fait un pacte avec un de mes amis là-bas: l'un de nous deux devra tuer le Directeur. On s'en ai fait la promesse.

Voilà, tu sais tout maintenant. J'aurais aimé te connaître, Di, et j'espère que l'occasion se présentera un jour. Ne met jamais un pied au Refuge. Promets-le moi (enfin, ce sera compliqué vu que je ne suis même pas sûr que tu recevras cette lettre, mais on va dire que tu l'as fait).

Embrasse maman Ava et toi-même (ou... demande à Ava de le faire pour moi, ça vaut mieux).
Moony

PS: Par pitié, si tu avais un jour la chance - ou le malheur, ça dépend des versions - de développer un pouvoir, cache-le. N'en parle à personne, et surtout pas à papa. C'est de sa faute si tout ça est arrivé (quoique maman est aussi fautive que lui, puisqu'elle l'a laissé faire).

Noah est grande pour son âge. Elle a de très longs cheveux noir aux reflets bleus nuits ( en tresse jusqu'au genoux). Ses yeux aussi sont particulier, toujours noirs mais avec des éclats violet. Sa peau est très bronzée. S'habille généralement avec un genre de tenue militaire/kaki, ou en costume d'indienne car sa mère descend des derniers peuples Amérindiens. Elle se maquille généralement comme une Indienne avec des produits naturels, comme "avant". Pourtant, tatouage et piercing sont au rendez-vous, puisqu'elle a une petit pierre dorée sur le nez et un grand tatouage Maori sur le bras, en référence a sa nationalité Néo-Zélandaise. Dans son dos, on devine sous les traces de scarification un numéro qu'on lui avait marqué, comme un produit, car elle était esclave.

No est une jeune fille qui a subi un profond choc. Elle ne rigole plus, elle qui avant se chargeait de sourire pour sa famille malheureuse, elle qui essayait toujours de redonner le sourire au gens. No tombe doucement dans la démence depuis le "choc". Elle est autoritaire, polie, et défend les plus faible. Son modèle est Phulan Devi. Elle a une âme de cheffe et déteste qu'on s'oppose à elle. Elle est très solitaire est renfermée, elle n'a aucun ami au Refuge. Noah se laisse parfois envahir par sa tristesse et sa rage, et cela peut devenir dangereux pour les autres pensionnaires du centre, de plus que lorsqu'elle est atteinte d'une de ses crises, elle libère de puissantes ondes électriques. Noah est très intelligente, mais ceux qui ne connaissent pas son histoire la traite de "folle à lier".

Noah a été faite esclave à cause de sa couleur de peau. Sa famille tente de s'échapper, Noah et son père y parviennent, mais la mère et les jumeaux sont tués. Noah est prise d'un chagrin incontrôlable, et pour les venger, ils décident de rejoindre un groupe de militaire qui combat contre l'esclavage pourtant interdit. Lors d'une fusillade, son père meurt et elle assassine plusieurs personnes. Et elle se rend compte qu'elle ne veut pas être une tueuse, et la vue de tout ce sang renforce sa folie. C'est là qu'elle découvre son pouvoir et tente de se suicider avec, sans succès, puis tente de sortir du pays mais elle est attrapé par ceux du Refuge.
Détails obligatoires: Née en Nouvelle-Zélande, son père est Néo-Zélandais et sa mère Amérindienne. Elle a deux petits frères jumeaux. Elle n'a aucune amie. Elle a essayé de retourner son pouvoir contre elle après le choc qu'elle a subi. Elle n'a opposé aucune résistance à venir au Refuge tant elle était folle de tristesse. Au Refuge, il lui arrive de faire des crises de folie du au choc, sinon elle est polie mais très autoritaire, très solitaire aussi. Elle est rebelle et a déjà essayé de s'en échapper.

De taille moyenne, ni grosse ni maigre mais entre les deux, peau très claire, yeux bleu, cheveux court, bouclés et roux. Elle s'habille toujours en short avec un pull en laine, même en hiver.

Elle est docile mais pas trop, sympa mais les autres enfants la trouve ennuyeuse parce-qu'elle lit tout le temps, elle est très intelligente, elle ne rate aucune sorties à l'extérieur car (on peut dire que le refuge est près de la mer ?) elle aime beaucoup se balader sur le sable fin de la plage. Elle est autonome.

Morgane est née dans un petit village en Islande, c'est peut-être pour ça qu'elle n'a jamais froid, elle est habitué. Elle a eu une enfance très dure, ses parents n'étaient jamais là alors ils ont engagé une dame pour s'occuper d'elle. Mme Jaargof, était très dure et détestait les enfants, pourquoi avait-elle accepté le poste ? Tout simplement parce-que dans la vie, on a besoin d'argent. Donc Morgane a perdu toute sa Liberté avec Mme Jaargof. Au début de la Guerre, sa mère lui a dit de ne pas s'inquiéter, mais Morgane ne pouvait pas ne pas s'inquiéter, seule au fond de leur maison alors que les villages aux alentours se faisaient bombarder. Sa mère est morte dans un incendie, elle ne pouvait plus respirer. Puis, un jour son père est parti, la laissant seule, elle a su se débrouiller mais, au fond, elle et son petit cœur étaient déchiré.Quand les gars du Refuge l'ont attrapé, elle ne s'est même pas débattu, de toute façon qu'est-ce qui pouvait lui arriver de pire ? Quand elle est arrivée au Refuge et qu'on lui a demandé quel pouvoir elle avait, elle a dit qu'elle n'en avait pas alors ils l'ont gardé au Refuge convaincus qu'elle avait un pouvoir mais refusait de le dire. Elle aime beaucoup le médecin car c'est la seule qui l'écoute et la comprend. Son père l'a abandonnée et ça, elle ne l'oubliera jamais. Au Refuge, elle est docile mais elle sait qui si le gouvernement a rassemblé tous ces enfants, c'est pas juste pour les protéger.
Morgane se promène souvent sur la plage près du Refuge, un jour elle s'est baignée mais un gars lui a dit de ne plus recommencer. Pourquoi alors que c'est si agréable ?
<<-C'est comment l'Espagne ?
-C'est joli, coloré et pas comme ici.
-Tu t'y plaisait là-bas ?
-Pourquoi toute ces questions, Morgane ?
-Je ne suis jamais allé en Espagne, ni ailleurs, seulement en Islande.>> Le médecin ne répondit pas et Morgane se tut.

Zuri est plutôt petit pour son âge, autour des 1m60, selon lui plutôt près des 1m65. Il est très fin, peu imposant, et tout aussi fin au niveau des jambes et des bras.
Peu musclé, il ressemble à n'importe quel enfant plus ou moins bien nourris du Tiers-Monde. Ces cheveux blancs sont peut-être ce qui fait différer son physique de ces semblables.
Une longue mèche blanche sur ses cheveux indomptables, de grand yeux noisette et une peau chocolat foncée, Zuri se distingue par son physique si particulier dans un monde où faibles ne peuvent survivre. Un sourire narquois se dessine cependant toujours sur son fin visage, son casque toujours sur les oreilles il semble toujours heureux et confiant.

" Rythmé " serait surement le mot qui décrirai le mieux Zuri. Fana de musique et aimant la danse par dessus tout, il aime rire, chanter, danser et rependre la bonne humeur autour de lui. Il est très confiant en ses capacités et en celles des autres, il est narquois et aime taquiner ses semblables. Il aime aussi beaucoup l'humour et rire, si certains le trouve très agaçant, Zuri aime plus que tout que les autres soient heureux. Il déteste les gros bras et les grandes gueules comme il les décris si bien, pour lui, nous sommes tous égaux, et il est hors de question de laisser les plus faibles à la merci des autres. Il n'est pas du tout naïf pour autant, il sait que s'il a confiance en la plupart des gens, beaucoup lui veulent du mal à lui et aux autres qui lui ressemble. Bien qu'il ne haïsse pas tout les adultes, sa confiance en eux est limité. Il a une âme de rebelle mais cependant n'aime pas blesser et encore moins tuer sans raisons, pour lui, personne ne mérite de mourir, cependant, une justice doit être rendue.

Présentation de Zuri, arrivée au refuge début 2079, lue & vérifiée, corrigée.


" S'il y a bien un endroit dans le monde que la guerre, la misère et la famine touche depuis des siècles, c'est l'Afrique. Déchirée par la guerre, la pauvreté, les maladies, la colonisation,
et depuis les autres. Comme les appelle mes parents, les "stranger", les "stranger", comme-ci ils n'étaient pas réellement humains en fait. Comme si je n'étais pas réellement humain en fait. Qui ça, moi ? Ouais moi, j'suis Zuri sérieux! Comment ça tu en me connais pas ? Ouais, faut dire que j'suis pas grand monde hein ? M*rde, j'étais sensé faire un truc sérieux... bah tant pis écoute, qui va lire ça de toute façon ? Personne, car j'suis personne. Qui s'intéresserait à un pauvre gamin d'Afrique du Sud ? bref,

J'suis né à Mtunzini, dans le Sud-est de l’Afrique du sud, au bord de la mer. J'ai un père, Mbatka , une mère Motuni et une petite sœur Shuri. J'ai grandi toute ma vie près de ce bord de mer, à rêver ma vie entière d'u autre horizon, à rêver d'autre chose que de guerre, de déchirement, fin bref, pas une vie pour un enfant hein ? Mon village a toujours été ravagé par la famine et les maladies. Mon père travaillait dans les mines non loin, à voir tout les jours des gamins ne faire enterrer vivants pour confectionner les gentils petits appareils des occidentaux et américain, etc. J'ai toujours réussi à échapper à ses boulots, en revanche, je devais tout les jours faire des allés-retours dans les ville les plus proches, pour distribuer toutes sortes de produits de m*rde contrefait jusqu'au c*l pour des gens qui n'avaient même pas de quoi s'acheter à manger. J'y emmenai ma petite sœur Shuri, bien trop jeune pour vraiment comprendre.

J'suis né en 2064, et comme tu le devines petit génie, j'ai grandi en plein milieu de l'éclatement du conflit, c'qu'on appelle la 3ème guerre mondiale. Quelle blague. J'étais bébé quand le conflit a éclaté, et je n'ai jamais compris c'que ces adultes voulaient vraiment. S'faire la guerre ? Ouais bah laisser nous en dehors de ça, c'pas comme-ci vous nous aviez déjà exploité durant de siècles hein ? Fin bref, notre village a énormément été touché et même l’Afrique entière par le conflit. Vu que nous n'étions que trop pauvres pour nous défendre, des conflits ont éclaté au quatre coins du continent, des groupes rebelles ont renversé la plupart des gouvernements déjà pas bien stables t'imagines. Les pays se sont déchirés, les gens crevaient on comptait même plus le nombre de cadavre dans les rue. Quand j'ai eu 10 ans, mes parents ma sœur et moi nous nous sommes réfugiés dans un camp de survivant, gérer par des occidentaux, fin on savait pas vraiment. On ét/ traité comme du bé//l, à faire des corvées toute la journée Corrigé, sans rien recevoir en retour que quelques minutes pour dormir la nuit. Les gens crevaient aussi à vue d’œil ici Corrigé, très peu de mort recensé dans le camp Ooutatante , et le conflit semblait pas s'arrêter.

Des gamins disparaissaient des fois, sans raison, des gamines aussi, des femmes... jvous laisse deviner pourquoi. fin bref, rien n'allait. Je rêvais que d'une chose c'était de me barrer aussi loin que je pouvais, de sauver ma famille, de faire en sorte qu'on sorte de cet enfer. Mais tout ceux qui se rebellait était sauv/gem//t assassiné Corrigé, les rebelles étaient punis à juste titre par les dirigeants, sous nos yeux, comme un avertissement. Comme pour nous prévenir "si t'essaies, t'es mort". Super ambiance hein ? J'ai grandi jusqu'à mes 15 ans là bas, ces types nous faisaient croire qu'ils nous sauvaient en nous retenant ici, en nous disant que dehors c'était pire, et qu'ici on était à l'abris. J'me demande ce qui est pire entre mourir d'une guerre à l'extérieur ou ici d'esclavage. Corrigé, il n'était pas question de ça.

L'année de mes 15 ans, début 2079 exactement, le camp fut attaqué par un groupe de rebelle de Pretoria, qui se faisait appeler les "Rhinocéros", en réaction à ces p*te de corbeaux Corrigé, comportement de cet élève à surveiller, manque de discipline. Le camp a été complètement ravagé, pas un seul survivant du côté des oppresseurs, on était donc libre ? Pas si vite, si la plupart on pu s'enfuir, ces occidentaux on vite envoyé une force armée pour nous rattraper, nous exterminer plutôt hein, dites le ? Corrigé. Fin bref, on était maintenant dans les caves, avec ma famille, quelques autres personnes et quelques rebelles, mais ont été complètement pris au piège. Une 20aine de soldats attendaient dehors, et croyez moi c'était pas pour nous faire du bien hein. Les rebelles étaient complètement sans munitions, on allait juste se faire décimer.

On a attendu, attendu des heures, qui semblait des jours dans cette cave humide. Les coup de feu se faisaient encore entendre dehors, ils essayaient de rentrer, de nous tuer. J'avais peur, tellement peur. J'étais un gamin m*rde, j'voulais pas crever là, j'voulais grandir, voir plus loin que ça, plus loin qu'un balle entre les deux yeux. J'avais peur, si peur... et les sons contre la porte, les frappes, les bruits, les coups de feu, j'avais peur, ils étaient là.

"CA VE CÉDER!"

Le rebelle devant la porte se jeta à terre. Et à ce moment, c'était là, je me suis dit "je vais mourir". Ma sœur hurlait, mes parents pleuraient, voilà comment on allait finir, on aller tous crever.

La porte a cédé, ils sont entrés. Et là, je me rappelle si peu de choses. Je me rappelle avoir hurlé, hurlé si fort, si fort. J'ai frappé des mains au sol, frappé des pieds, je ne pouvais laisser faire ça. J'ai hurlé, frappé, et hurlé encore, frappé, mais tout cela s'est passé si vite.

Quand j'ai ré ouvert les yeux, le calme était là, devant moi, une pile de soldats complètement assommés, morts sur le coup j'ai espéré. Les deux rebelles me regardaient, stupéfaits, peut-être terrifiés, je ne sais vraiment. Que s'était-il passé ? Qu'avais-je fait ? Aucune idée, mais la seule image dont je me rappelle, c'est d'être brutalement tombé au sol, sous les cris de ma mère qui hurlait mon nom.

Quand je me suis réveillé, j'étais dans une espèce de pièce blanche étrange, très petite, mais si claire. Quelqu'un me regardait, mais je n'arrivais pas à voir son visage. Je me rappelle qu'il m'a surement dit quelque chose, mais je n'ai jamais su quoi. D'autres personnes sont alors entrées. Elles m'ont parlé, parlé de moi, de mon incroyable "don". Je ne captais absolument rien. Quel don ? De quoi ils parlaient ?

" jsuis ou, vous êtes qui ? c'qui cé passé p*tain ? et ma famille... MA FAMILLE ???"

J'ai tenté de me relever, mais ils m'ont plaqués sur le lit. "Calmes-toi calmes toi, tu es blessé, reposes-toi!" Un type chelou me regardait de haut, il me chuchota doucement ;

" Tu es incroyable Zuri, incroyable, nous allons t’amener en sécurité maintenant..."

Et voilà comment je suis arrivée, ici, dans votre refuge là. Je ne sais pas où est ma famille, je ne les ai jamais revu. Corrigé, ils sont en sécurité.
Voilà ma présentation, j'espère que vous avez apprécié hein ? vous les ptits filous qu'on voit jamais. vous inquiétez pas, on vous trouvera bien, j'vous trouverai bien un jour, on verra qui oppressera qui hein ? "

Fiche corrigée, lue et vérifiée. Comportement à suivre de très près.

Jeune et délicat, au cheveux noirs et fins, au visage d'ange. Kaito mesure 1m55, possède de fine jambe et une musculature presque inexistante. Son œil droit et bleu, l'autre violet, ses cheveux mi court tombent sur son petit front et ses oreilles. Il possède un visage calme et presque complètement inexpressif, il ne sourit presque jamais. Sa peau est très claire, du fait de son origine Japonaise. Il ne bronze jamais et prends très vite des coup de soleil si exposé trop longtemps à la lumière naturelle.

Kaito est hautain, condescendant et méprisant. Il n'a de respect pour rien d'autre que ces supérieurs, et s'il en vient à vous considérer comme inférieur à lui, ce qui est le cas de la plupart des gens autour de lui, il ne vous adressera même pas la parole. Il est extrêmement réservé et patriote, en dehors des japonais, il n'apprécie pas grand monde,
et encore moins des populations du tiers-monde qu'il considère comme des sauvages. Il est franc et froid, dit ce qu'il pense à chaque instant et ne se retiens jamais même quitte à blesser son interlocuteur. Cependant Kaito n'aime pas la violence gratuite, il déteste ce battre ou se blesser. Il ne provoquera donc jamais personne et ne fera pas de mal juste pour se satisfaire. Il préfère simplement ignorer les autres personnes, il est très associable et préfère la plupart du temps rester seul.

Il critique et juge énormément les gens autour de lui et à très vite des à priori sur tout ce qui l'entoure. Il respecte énormément les adultes et déteste les bébés, les enfants de bas âge ou même plus généralement les enfants de son âge, les disant "immatures" par rapport à lui. Il aime méditer, lire, le cinéma, et écrire beaucoup. il est très confiant en lui et très sévère sur ses propres actes et ses choix de vie. Le seul moyen pour vous de se faire respecter s'il vous méprise, c'est de lui tenir tête et de lui faire face sans peur, alors peut-être pourra-t-il se mettre à vous respecter pour votre courage.