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Skies are crying ~ Atelier d'écriture

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Dim 29 Oct - 14:45
Rappel du premier message :

Skies are crying ~ Atelier d'écriture - Page 4 Tumblr_mgiw1ulCoE1rkagqyo1_500

Introduction

bonjour, bonsoir, bon matin, bon après-midi à toutes ! ici, vous êtes sur un atelier d'écriture (non sans blague ?) ! je vais vous le présenter.

Comment va se dérouler l'atelier ?

tout d'abord, il faut s'inscrire. ensuite, je donnerais un thème, vous aurez encore dix jours pour vous inscrire et un mois pour poster vos productions. je vous informe que je ne prend pas plus de 15 participantes par thème.
les corrections des textes ne seront plus faites, à moins que vous n'en ayez réellement besoin.
je pourrai toujours glisser un petit mot sur votre texte, mais je ne corrigerai plus les fautes, je ne donnerai plus mon avis sur la présentation, etc.
c'est assez long de les faire, parce que je dois parfois relire plusieurs fois les textes pour être sûre d'avoir tout bien corrigé. c'est pourquoi je vous ferai une correction que si vous en avez VRAIMENT besoin, alors soyez honnêtes, s'il vous plaît, et ne dîtes pas "oui j'ai vraiment besoin d'une correction" alors que vous écrivez très bien.
j'essaierai de vous faire de temps en temps des fiches méthodes en fonction des erreurs les plus commises.
vous pourrez aussi me poster vos textes que vous écrivez en "hors thème" si je puis dire, si vous souhaitez avoir un avis.
pour vous inscrire, il suffit de remplir la petite fiche ci-dessous :

☆ Prénom :
☆ Âge :
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) :
☆ Correction ? (oui ou non) :

voilà, si vous avez des questions, n'hésitez surtout pas !

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Mar 21 Nov - 19:28
Himalaya a écrit:
doggy38 a écrit:
☆ Prénom : Anouk
☆ Âge :13 yo
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) :ici
☆ Correction ? (oui ou non) :oui
Pour le 2ème thème s'il te plaît
tu es inscrite (:
Merci

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Mer 22 Nov - 14:07
Liberty a écrit:

☆ Prénom : Linsy
☆ Âge : 15ans
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) : Clique iciii
☆ Correction ? (oui ou non) :  Nan, ça va.. pour le moment je pense ^^

tu es inscrite pour le deuxième thème (:

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Ven 24 Nov - 12:29
Ellana Caldin a écrit:Hey, je m'inscris (:
☆ Prénom : Sarah
☆ Âge : 12 ans
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) : Ma BAL
☆ Correction ? (oui ou non) : non (:

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Mais dites leurs qu'suis trop jeune pour comprendre."
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Mer 29 Nov - 16:46
Skies are crying ~ Atelier d'écriture - Page 4 Large

Tout était calme. Silencieux. Peut-être un peu trop. Aucun bruit, pas un souffle de vent, aucun aboiement de chien, plus de cris d'oiseaux. Quand aux voitures, elles semblaient avoir disparues. Peut-être était-ce ce silence angoissant qui réveilla Anylia au milieu de la nuit. Elle avait fait un cauchemar et s'était réveillée en sursaut. La jeune fille se dirigea vers la cuisine de l'orphelinat sur la pointe des pieds. Elle connaissait parfaitement les marches qui grinçaient dans le vieil escalier et parvint en bas sans réveiller personne. Elle prit un verre et tourna le robinet pour se servir de l'eau mais... pas la moindre goutte d'eau ne coulait. Anylia soupira. Elle aurait du mal à s'endormir avec sa gorge sèche. Elle espérait que l'eau reviendrait bientôt, car l'orphelinat était plutôt isolé, malgré le bruit des voitures que l'on entendait constamment. Il était surtout caché par une petite forêt. Ce fut à ce moment-là qu'elle se rendit compte que le bruit des voitures habituel était absent. Elle se pencha par la fenêtre et essaya en vain de distinguer une source de lumière dans l'obscurité. La jeune fille prit alors un galet qui était posé sur le rebord de la fenêtre, sûrement posé par l'intendante qui s'obstinait à vouloir décorer l'orphelinat avec sa réserve inépuisable de galets. Elle le jeta devant la porte tout en espérant que le bruit ne réveillerait pas une des jeunes filles qui dormaient dans le bâtiment. La lampe devant la porte ne s'alluma pas. Pourtant elle était censée s'allumer dès que quelque chose bougeait devant l'entrée. C'était sans doute un des dispositifs les plus modernes de ce vieil orphelinat. Le concierge a oublié de la réparer se dit Anylia même si elle savait pertinemment que la lampe n'était pas cassée. Elle tenta de se raisonner, car l'obscurité et le silence qui régnait commençaient à lui faire peur. Anylia alla donc vers la salle de bain et appuya sur l'interrupteur. Mais tout restait plongé dans le noir. Il n'y a donc plus d'eau ni d'électricité ? se désespéra la jeune fille. Elle décida donc de retourner dans son lit et d'attendre le soleil qui viendrait la réveiller. La directrice règlerait tous ces problèmes et tout rentrerait dans l'ordre. L'orpheline parvint non sans mal devant la porte du dortoir de l'aile droite là où elle dormait. Mais lorsqu'elle voulut l'ouvrir, la porte résista. Anylia força et poussa la porte avec son épaule mais rien à faire, elle était fermée à clé. La jeune fille sentit son cœur se serrer, elle était sortie tout à l'heure de ce dortoir et quelqu'un l'avait fermé à clé durant son escapade. Il y avait donc quelqu'un qui se baladait en ce moment en même dans les couloirs de l'orphelinat ! Mais qui ? Et pourquoi, avait-elle fermé cette porte à clé ? Quelle mauvaise blague... C'était aujourd'hui Halloween mais il faisait encore nuit ! Et puis de toute façon, depuis que la fête avait mal tourné et qu'une des pensionnaires avait été perdue dans la forêt lors d'Halloween, la directrice avait formellement interdit de fêter Halloween. Il paraît qu'on n'avait jamais retrouvé l'orpheline, ni vivante, ni morte. Cela donnait lieu à de nombreuses histoires que l'on racontait le soir sous les couvertures pour faire peur aux nouvelles.
En attendant, Anylia n'avait pas très envie de plaisanter. Elle tendait l'oreille pour tenter d'entendre des craquements ou n'importe quel bruit qui aurait pu trahir la présence d'une personne réveillée. Mais rien. Juste ce silence. Angoissant et pesant qui remplissait de peur à chaque seconde le cœur de la jeune fille. Anylia décida alors de réveiller quelqu'un pour ce débarrasser de ce sentiment de solitude absolue. Elle se dirigea vers les dortoirs de l'aile gauche pour réveiller les pensionnaires. Mais son espoir fut vite balayé, la porte était désespéremment close. L'orpheline aurait aimé marteler la porte de ses poings et de crier pour réveiller les jeunes filles à l'intérieur mais ce raffut allait sans doute alerter la personne qui avait verrouillé la porte.
Désemparée, Anylia réfléchissait maintenant à un endroit sûr où se cacher en attendant le matin. Elle entendit alors un bruit, très discret qu'on n'aurait pas entendu si l'orphelinat n'était pas plongé dans un silence morbide. Il venait de la cuisine. Anylia se dirigea immédiatement vers la cuisine en tachant de rester discrète. Elle craignit que son cœur qui martelait sa poitrine ne la trahisse. Elle jeta un coup d'oeil à l'intérieur. Tout était identique que tout à l'heure et le silence était revenu aussi rapidement qu'il avait disparu. La jeune fille tourna le robinet pour regarder si l'eau était revenue. Quelle ne fut pas sa surprise en constatant que de l'eau coulait du robinet ! L'électricité doit être revenue aussi se dit Anylia. Les dortoirs ne seront plus fermés et tout redeviendra normal se réjouit la jeune fille. Elle sourit et le rythme infernal de son cœur se calma légèrement.
Puis elle sentit une drôle d'odeur. Une odeur inhabituelle. Elle fronça le nez. L'orpheline se servit un verre d'eau et porta le verre à sa bouche. L'odeur se fit plus forte et plus insistante. Anylia but une gorgée. L'eau avait un goût âcre, un goût métallique. Un goût de sang. Et la jeune fille comprit avec horreur que l'odeur provenait de son verre et qu'elle venait de boire du sang. Elle posa aussitôt son verre et tenta de réfréner sa nausée. Un vertige la saisit et elle se laissa tomber sur une chaise. Qu'est-ce qui se passait ?
Elle retourna vers le dortoir en tremblant. Elle soupira de soulagement quand elle constata que la porte s'ouvrait enfin. Dans le dortoir, rien n'avait changé. Toutes les jeunes filles étaient dans leur lit et dormaient. Anylia marcha vers son lit, impatiente de se réfugier sous sa couette. Mais elle trébucha. Une valise dépassait de sous un lit. En un bref coup d'oeil, la jeune fille reconnut une de ses camarades. Elle fronça alors les sourcils, la fille qui dormait dans ce lit était toujours exemplaire et très maniaque. Elle n'aurait jamais laissé sa valise dépasser de son lit. Anylia s'approcha alors du lit avec appréhension. Le visage de la jeune fille était serein, elle dormait. Soudain, Anylia fut prise d'un doute et passa sa main au-dessus de la bouche de sa camarade. Elle constata avec stupéfaction qu'aucun souffle d'air n'en sortait. N'osant croire ce que ça signifiait, Alynia s'approcha du lit voisin et fit la même conclusion. Elle se retint pour ne pas fondre en larmes et il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que toutes les jeunes filles du dortoir étaient mortes dans leur sommeil.
Alynia n'avait pas vu de trace de sang ou de lutte, mais elle ne voulait pas savoir comment ses camarades étaient morte. Elle voulait juste que ce cauchemar s'arrête, être réveillée par le soleil et aller aux cours de l'Institutrice.
La jeune fille allait se laisser tomber dans son lit et éclater en sanglots quand un cri déchira la nuit. Ce cri la paralysa, elle ne savait pas si c'était le bourreau et la victime. Tout ce qu'elle savait, c'est que ce cri était près. Un peu trop près d'elle. Elle entendit ensuite une marche de l'escalier craquer, apparemment, l'assassin fou ne se souciait plus d'être discret. Avait-il remarqué l'absence d'une des pensionnaires ?
Alynia, par réflexe instinctif, se rua vers la sortie le plus loin possible de l'escalier : l'escalier de secours. Par miracle, la porte menant à celui-ci était ouverte. La jeune fille dévala l'escalier, horrifiée. Arrivée dehors, il faisait toujours nuit, elle avait l'impression que cette nuit durait une éternité. L'orpheline regarda autour d'elle, le seul endroit susceptible de la cacher était la forêt. Alors elle s'élança à travers le jardin de l'orphelinat en courant. Elle avait l'impression que son cœur allait éclater en morceaux tellement il battait vite.
Dès qu'elle fut dans la forêt, Alynia regarda derrière elle. Ce qu'elle découvrit lui glaça le sang. Devant l'entrée, une vieille dame aux cheveux gris et au regard fou, tenait une torche enflammée dans la main. Elle fixait Alynia d'un regard démoniaque. La jeune fille, terrorisée, fit volte-face et s'enfonça en courant dans la forêt. Les branches lui fouettaient le visage, elle trébuchait sur des racines, elle ne voyait plus rien. Atteindre la route de l'autre côté où elle pourrait trouver de l'aide, c'était son objectif. Elle sentait le souffle de la vieillarde tueuse derrière elle et tentait de ne pas penser à l'orphelinat peuplé de morts qu'elle laissait derrière elle. Courir. Courir. Ne pas se retourner.
Alynia entendit alors le rire dément de l'assassine qui était juste derrière elle.
« Tu te souviens de moi ? On m'a oublié, hein ? On m'a perdue dans la forêt un soir d'Halloween et on m'a oublié ? On a fait comme s'il ne s'était rien passé. Mais j'étais vivante et je le suis toujours ! Mais ce petit incident leur a fait payer. Mais il ne faut pas que ça s'ébruite ! Tu es la seule survivante... enfin pas pour longtemps ! »
Alynia sentit son sang se glacer dans ses veines, la vieille folle continuait de débiter ces paroles en les accompagnant d'un rire effroyable. Elle courait le plus vite possible, il fallait sortir de ce bois, trouver une route et des gens et les avertir. Courir. Plus vite. Encore. Elle y était presque. Presque. Elle s'écroula. Ce fut le noir avec en arrière fond le rire fou de la meurtrière. Presque.

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Mer 29 Nov - 16:48
J'ai choisi le thème a (;

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Mer 29 Nov - 16:49
Ange mortelle a écrit:Skies are crying ~ Atelier d'écriture - Page 4 Large

Tout était calme. Silencieux. Peut-être un peu trop. Aucun bruit, pas un souffle de vent, aucun aboiement de chien, plus de cris d'oiseaux. Quand aux voitures, elles semblaient avoir disparues. Peut-être était-ce ce silence angoissant qui réveilla Anylia au milieu de la nuit. Elle avait fait un cauchemar et s'était réveillée en sursaut. La jeune fille se dirigea vers la cuisine de l'orphelinat sur la pointe des pieds. Elle connaissait parfaitement les marches qui grinçaient dans le vieil escalier et parvint en bas sans réveiller personne. Elle prit un verre et tourna le robinet pour se servir de l'eau mais... pas la moindre goutte d'eau ne coulait. Anylia soupira. Elle aurait du mal à s'endormir avec sa gorge sèche. Elle espérait que l'eau reviendrait bientôt, car l'orphelinat était plutôt isolé, malgré le bruit des voitures que l'on entendait constamment. Il était surtout caché par une petite forêt. Ce fut à ce moment-là qu'elle se rendit compte que le bruit des voitures habituel était absent. Elle se pencha par la fenêtre et essaya en vain de distinguer une source de lumière dans l'obscurité. La jeune fille prit alors un galet qui était posé sur le rebord de la fenêtre, sûrement posé par l'intendante qui s'obstinait à vouloir décorer l'orphelinat avec sa réserve inépuisable de galets. Elle le jeta devant la porte tout en espérant que le bruit ne réveillerait pas une des jeunes filles qui dormaient dans le bâtiment. La lampe devant la porte ne s'alluma pas. Pourtant elle était censée s'allumer dès que quelque chose bougeait devant l'entrée. C'était sans doute un des dispositifs les plus modernes de ce vieil orphelinat. Le concierge a oublié de la réparer se dit Anylia même si elle savait pertinemment que la lampe n'était pas cassée. Elle tenta de se raisonner, car l'obscurité et le silence qui régnait commençaient à lui faire peur. Anylia alla donc vers la salle de bain et appuya sur l'interrupteur. Mais tout restait plongé dans le noir. Il n'y a donc plus d'eau ni d'électricité ? se désespéra la jeune fille. Elle décida donc de retourner dans son lit et d'attendre le soleil qui viendrait la réveiller. La directrice règlerait tous ces problèmes et tout rentrerait dans l'ordre. L'orpheline parvint non sans mal devant la porte du dortoir de l'aile droite là où elle dormait. Mais lorsqu'elle voulut l'ouvrir, la porte résista. Anylia força et poussa la porte avec son épaule mais rien à faire, elle était fermée à clé. La jeune fille sentit son cœur se serrer, elle était sortie tout à l'heure de ce dortoir et quelqu'un l'avait fermé à clé durant son escapade. Il y avait donc quelqu'un qui se baladait en ce moment en même dans les couloirs de l'orphelinat ! Mais qui ? Et pourquoi, avait-elle fermé cette porte à clé ? Quelle mauvaise blague... C'était aujourd'hui Halloween mais il faisait encore nuit ! Et puis de toute façon, depuis que la fête avait mal tourné et qu'une des pensionnaires avait été perdue dans la forêt lors d'Halloween, la directrice avait formellement interdit de fêter Halloween. Il paraît qu'on n'avait jamais retrouvé l'orpheline, ni vivante, ni morte. Cela donnait lieu à de nombreuses histoires que l'on racontait le soir sous les couvertures pour faire peur aux nouvelles.
En attendant, Anylia n'avait pas très envie de plaisanter. Elle tendait l'oreille pour tenter d'entendre des craquements ou n'importe quel bruit qui aurait pu trahir la présence d'une personne réveillée. Mais rien. Juste ce silence. Angoissant et pesant qui remplissait de peur à chaque seconde le cœur de la jeune fille. Anylia décida alors de réveiller quelqu'un pour ce débarrasser de ce sentiment de solitude absolue. Elle se dirigea vers les dortoirs de l'aile gauche pour réveiller les pensionnaires. Mais son espoir fut vite balayé, la porte était désespéremment close. L'orpheline aurait aimé marteler la porte de ses poings et de crier pour réveiller les jeunes filles à l'intérieur mais ce raffut allait sans doute alerter la personne qui avait verrouillé la porte.
Désemparée, Anylia réfléchissait maintenant à un endroit sûr où se cacher en attendant le matin. Elle entendit alors un bruit, très discret qu'on n'aurait pas entendu si l'orphelinat n'était pas plongé dans un silence morbide. Il venait de la cuisine. Anylia se dirigea immédiatement vers la cuisine en tachant de rester discrète. Elle craignit que son cœur qui martelait sa poitrine ne la trahisse. Elle jeta un coup d'oeil à l'intérieur. Tout était identique que tout à l'heure et le silence était revenu aussi rapidement qu'il avait disparu. La jeune fille tourna le robinet pour regarder si l'eau était revenue. Quelle ne fut pas sa surprise en constatant que de l'eau coulait du robinet ! L'électricité doit être revenue aussi se dit Anylia. Les dortoirs ne seront plus fermés et tout redeviendra normal se réjouit la jeune fille. Elle sourit et le rythme infernal de son cœur se calma légèrement.
Puis elle sentit une drôle d'odeur. Une odeur inhabituelle. Elle fronça le nez. L'orpheline se servit un verre d'eau et porta le verre à sa bouche. L'odeur se fit plus forte et plus insistante. Anylia but une gorgée. L'eau avait un goût âcre, un goût métallique. Un goût de sang. Et la jeune fille comprit avec horreur que l'odeur provenait de son verre et qu'elle venait de boire du sang. Elle posa aussitôt son verre et tenta de réfréner sa nausée. Un vertige la saisit et elle se laissa tomber sur une chaise. Qu'est-ce qui se passait ?
Elle retourna vers le dortoir en tremblant. Elle soupira de soulagement quand elle constata que la porte s'ouvrait enfin. Dans le dortoir, rien n'avait changé. Toutes les jeunes filles étaient dans leur lit et dormaient. Anylia marcha vers son lit, impatiente de se réfugier sous sa couette. Mais elle trébucha. Une valise dépassait de sous un lit. En un bref coup d'oeil, la jeune fille reconnut une de ses camarades. Elle fronça alors les sourcils, la fille qui dormait dans ce lit était toujours exemplaire et très maniaque. Elle n'aurait jamais laissé sa valise dépasser de son lit. Anylia s'approcha alors du lit avec appréhension. Le visage de la jeune fille était serein, elle dormait. Soudain, Anylia fut prise d'un doute et passa sa main au-dessus de la bouche de sa camarade. Elle constata avec stupéfaction qu'aucun souffle d'air n'en sortait. N'osant croire ce que ça signifiait, Alynia s'approcha du lit voisin et fit la même conclusion. Elle se retint pour ne pas fondre en larmes et il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que toutes les jeunes filles du dortoir étaient mortes dans leur sommeil.
Alynia n'avait pas vu de trace de sang ou de lutte, mais elle ne voulait pas savoir comment ses camarades étaient morte. Elle voulait juste que ce cauchemar s'arrête, être réveillée par le soleil et aller aux cours de l'Institutrice.
La jeune fille allait se laisser tomber dans son lit et éclater en sanglots quand un cri déchira la nuit. Ce cri la paralysa, elle ne savait pas si c'était le bourreau et la victime. Tout ce qu'elle savait, c'est que ce cri était près. Un peu trop près d'elle. Elle entendit ensuite une marche de l'escalier craquer, apparemment, l'assassin fou ne se souciait plus d'être discret. Avait-il remarqué l'absence d'une des pensionnaires ?
Alynia, par réflexe instinctif, se rua vers la sortie le plus loin possible de l'escalier : l'escalier de secours. Par miracle, la porte menant à celui-ci était ouverte. La jeune fille dévala l'escalier, horrifiée. Arrivée dehors, il faisait toujours nuit, elle avait l'impression que cette nuit durait une éternité. L'orpheline regarda autour d'elle, le seul endroit susceptible de la cacher était la forêt. Alors elle s'élança à travers le jardin de l'orphelinat en courant. Elle avait l'impression que son cœur allait éclater en morceaux tellement il battait vite.
Dès qu'elle fut dans la forêt, Alynia regarda derrière elle. Ce qu'elle découvrit lui glaça le sang. Devant l'entrée, une vieille dame aux cheveux gris et au regard fou, tenait une torche enflammée dans la main. Elle fixait Alynia d'un regard démoniaque. La jeune fille, terrorisée, fit volte-face et s'enfonça en courant dans la forêt. Les branches lui fouettaient le visage, elle trébuchait sur des racines, elle ne voyait plus rien. Atteindre la route de l'autre côté où elle pourrait trouver de l'aide, c'était son objectif. Elle sentait le souffle de la vieillarde tueuse derrière elle et tentait de ne pas penser à l'orphelinat peuplé de morts qu'elle laissait derrière elle. Courir. Courir. Ne pas se retourner.
Alynia entendit alors le rire dément de l'assassine qui était juste derrière elle.
« Tu te souviens de moi ? On m'a oublié, hein ? On m'a perdue dans la forêt un soir d'Halloween et on m'a oublié ? On a fait comme s'il ne s'était rien passé. Mais j'étais vivante et je le suis toujours ! Mais ce petit incident leur a fait payer. Mais il ne faut pas que ça s'ébruite ! Tu es la seule survivante... enfin pas pour longtemps ! »
Alynia sentit son sang se glacer dans ses veines, la vieille folle continuait de débiter ces paroles en les accompagnant d'un rire effroyable. Elle courait le plus vite possible, il fallait sortir de ce bois, trouver une route et des gens et les avertir. Courir. Plus vite. Encore. Elle y était presque. Presque. Elle s'écroula. Ce fut le noir avec en arrière fond le rire fou de la meurtrière. Presque.
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Mer 29 Nov - 18:38
@Ange mortelle  je veux la fin !!
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Mer 29 Nov - 19:40
Stone Hills, 31 octobre 1993, 19h30

Deux ans. Deux ans que son meilleur ami avait disparu. Il ne savait pas trop comment il avait réussi à surmonter cette situation, à supporter les regards emplis de pitié que les habitants de la petite ville de Stone Hills lui lançaient. Comment il avait réussi à continuer de vivre, tout simplement.

Ce soir-là, ses parents dînaient avec de vieux amis et sa sœur passait la soirée avec son amie Chelsea - à moins que ce ne soit Hayley. En ce moment-même, les deux adolescentes devaient être en train de comparer les "beaux gosses" du lycée, ou de regarder des films d'horreur interdits aux mineurs. C'était Halloween, après tout.

Ça le faisait toujours rire jaune, de se dire que son meilleur ami avait disparu un 31 octobre. Pourquoi pas le 29? Ou le premier novembre? Mais non, c'est plus marrant de disparaître un jour comme celui-là, un jour où tout le monde n'est qu’euphorie. Le hasard est parfois joueur.

Ce jour-là, ils n'étaient pas allés à la chasse aux bonbons avec les enfants du quartier; cela ne les avait jamais vraiment enthousiasmés. Non, ce soir-là, ils avaient décidé de squatter la maison abandonnée, celle qui était passée de propriétaire en propriétaire jusqu'à ce que plus personne ne veuille d'elle. Pourtant, c'était une maison tout ce qu'il y a de plus banale, mis à part le fait que ses tout premiers occupants avaient disparu dans des circonstances étranges. Après ce drame, aucune famille n'avait habité cette maison plus d'un an.

Logiquement, après le drame, il n'aurait pas dû vouloir retourner dans cette maison. D'ailleurs, il n'y avait plus mis un pied depuis; il s'appliquait même à faire un détour pour ne pas passer devant en allant au collège. Mais étrangement, deux ans plus tard, en cette soirée du 31 octobre 1993, l'envie d’y faire un tour le titillait. Il ne comprenait pas trop pourquoi; il n'y avait rien d’amusant à faire là-bas, et même s'il emmenait un de ses amis avec lui, ça ne serait plus jamais comme avant. Il essaya de réprimer cette envie étrange au fond de son esprit, de la noyer dans l'océan des choses à oublier, mais rien à faire. Il ne parvenait pas à se la sortir de la tête.

C'est ainsi qu'il se décida à y aller. Il fut dans un état second durant tout le trajet; ses jambes le portaient, mais son esprit était ailleurs. Déterminé à ne pas revivre de souvenirs douloureux, il s’inventa une histoire: celle d'une jeune fille aux pouvoirs étranges, d'un garçon disparu et d'un monde parallèle peuplé de monstres qu'il décida de nommer "le monde à l'envers". Cette fiction l'accompagna durant tout le trajet, lui évitant de trop penser à son ami disparu - ou même probablement mort, à l'heure qu'il était.

Arrivé devant la maison, sombre et vide, ses jambes décidèrent subitement qu'elles avaient trop marché et il s'arrêta net, au milieu des herbes folles parsemées ça et là de canettes vides, de vieux outils de jardinage et d'un ballon en plastique aplati. Dans sa tête, l'histoire suivit le mouvement et s'évapora comme de l'eau bouillante, ne laissant plus dans son esprit que les souvenirs qu'il avait trop souvent tenter d'oublier.

Le souvenir de ce fameux soir, le vendredi 31 octobre de l’année 1991, le dernier passé avec son meilleur ami, défila devant ses yeux comme la vie de quelqu'un sur le point de mourir et les larmes lui montèrent aux yeux.

Reprends-toi.

Il inspira profondément, chassa ses larmes et reprit sa marche. Il n'était plus qu'à quelques mètres de l’inquiétante bâtisse. Celle-ci était exactement comme dans son souvenir: façade rouge défraîchie, toit en briques salies par les intempéries, volets blancs usés, certains ne tenant plus que sur un gond, la moitié de ses vitres brisées. L'inscription gravée par un inconnu quelques années auparavant était toujours visible. I’m from the outside. « Je viens de l’extérieur. » Ils s'étaient amusés, son ami et lui, à inventer toutes sortes de significations loufoques à ces mots.

« Je suis sûr que ça a été écrit par un alien.
- Non, je sais! Un agent secret en mission! C'est un code!
- Ou encore un de ces pseudo-poètes qui veulent se donner un genre.
- Quoi? C'est complètement nul, comme idée... Non, un agent secret, ça me plaît. »


Arrivé devant la porte, il hésita. C'était peut-être une mauvaise idée de venir ici, en fin de compte. Il était encore temps de partir et de faire comme si cette sortie nocturne n'avait jamais eu lieu. Mais pourquoi reculer maintenant, alors qu’il était à deux doigts d'entrer? Il n'avait certainement pas fait tout ça pour rien.

Un grincement sinistre retentit lorsqu'il poussa la porte. Il fit un pas hésitant, puis un autre, avant de s'arrêter pour contempler l'intérieur de la vieille bâtisse. L'air sentait le renfermé. On aurait cru que personne n'y avait mis un pied depuis sa dernière visite. Le vieux lustre pendait toujours dans l'entrée, la porte menant au premier couloir pendait toujours sur ses gonds; les seuls changements notables étaient deux ou trois bouteilles vides abandonnées là, ce qui réfuta sa supposition que personne n'était venu ici après lui - après eux. Il n'était apparemment pas le seul que cette maison ne terrifiait pas.

Il avança encore, et la porte se referma brutalement derrière lui. Il n'avait pas besoin de lampe torche; la plupart des volets étant cassés, les dernières lueurs du jour éclairant suffisamment l'intérieur. Il monta l'escalier branchant, ne s'arrêtant pas devant le salon et la cuisine. Une seule pièce l'intéressait: la chambre au fond à gauche, en face de la porte menant au grenier. C'était une grande pièce qui n'avait jamais été vidée, et dont les meubles trônaient encore comme des antiquités. Manifestement, cette chambre avait été habitée par un enfant: de vieux jouets pour la plupart cassés jonchaient le sol, la couette du lit à baldaquin était ornée d’animaux et de minuscules habits poussiéreux étaient accrochés dans la penderie.

Aussi loin qu'il s'en souvienne, cette chambre avait toujours été leur planque favorite. Ils s’étaient retrouvés ici un nombre incalculable de fois, tellement qu’il en avait perdu le compte. Mais seul, cet endroit ne paraissait plus aussi chaleureux que dans ses souvenirs. La fenêtre grande ouverte laissait passer des courants d'airs étrangement glacials pour un mois d'octobre, et les peluches délavées avaient une allure sinistre. Désemparé et un brin effrayé, il alla s'asseoir sur le lit.

Il ne se souvenait pas s'être endormi, mais quand le bruit de la pluie au-dehors le tira du sommeil, la nuit était tombée et il était complètement désorienté. Il reconnaissait la chambre et les ombres de ses meubles, fantômes du passé, mais il était incapable de se rappeler ce qu'il faisait là, ni même ce qui avait bien pu le pousser à revenir dans ce lieu sinistre. Ses derniers souvenirs dataient d'une semaine. Il faisait étrangement lourd dans la pièce, le ciel avait une teinte verte et il lui semblait voir les ombres bouger. Mais qu'est-ce...

À peine ce fragment de pensée avait-il traversé son esprit qu’il entendit la porte grincer; c'était certainement le vent, mais il ne put retenir un sursaut. Et si un fou psychopathe l'avait repéré et décidé de l'enlever? Ou pire... et si la maison était hantée? C'est pas le moment de croire aux esprits... Mieux vaut partir avant que cette maison ne me fasse péter les plombs!

Paniqué, il allait se diriger vers la porte quand il s'arrêta net. Quelqu'un l'attendait, silhouette sombre mais malgré tout parfaitement reconnaissable. C'était lui. Son ancien partenaire de crime, son acolyte de toujours. Il était revenu. Couvert d’égratignures et sans avoir l'air d'avoir vieilli d'une journée, certes, mais il était là, et son ami ne pouvait en croire ses yeux. Il se tenait immobile telle une statue, ne sachant quoi faire, son cerveau tournait à plein régime.

Il écarta tout de suite l'hypothèse du rêve: de son point de vue, il fallait être complètement abruti pour ne pas savoir différencier le rêve de la réalité. Peut-être avait-il échappé aux griffes de ses potentiels kidnappeurs, mais alors, pourquoi n'était-il pas directement aller trouver la police, ou même ses parents? Et pourquoi n'avait-il pas pris un seul centimètre en deux ans? Ça n'avait pas de sens... Ou peut-être avait-il définitivement perdu la raison. Un ciel vert, des ombres mouvantes, une étrange apparition... Il était bon pour l'hôpital psychiatrique!

« T’es... t’es revenu? » fut la seule phrase qu'il parvient à prononcer.

Son ami - ou alors son fantôme? - leva la tête, leurs regards se croisèrent et il ne put retenir une exclamation: autrefois verts, les yeux du revenant étaient entièrement noirs, d'un noir aussi foncé que les ailes d'un corbeau et aussi profond que l'enfer.

« Je ne suis jamais parti, répondit-il en souriant doucement.
- Bien sûr que si, tu... tu as disparu il y a deux ans! s'effara l'autre garçon.
- Je ne suis pas parti, je te dis, j'étais tout près d'ici.
- Tout près d'ici? Tu es resté dans les environs deux ans sans jamais donner un signe de vie! Mais qu'est-ce qui t'as pris?
- Deux ans? répéta l'apparition, ignorant la question. Remarque, tu as sûrement raison... J'avoue avoir un peu perdu le compte, là-bas. »

Le sourire tranquille avait disparu, remplacé par un rictus quasi démoniaque.

« Où ça, là-bas? »

Complètement affolé, il n'essayait même plus de trouver un sens à cette situation. Tout ce qu'il voulait, c'était partir, partir et oublier les moindres détails de la soirée. Il n'aurait jamais du venir ici. Retourner dans la maison avait dû ouvrir une vanne dans son cerveau, contenant la folie autrefois prisonnière et qui se déversait à présent à flot dans son esprit. Je veux juste partir d'ici. Par pitié.

« Où ça? » hurla-t-il.

Son ancien ami, toujours aussi calme, s'approcha doucement de lui et chuchota:

« A l'extérieur. »

Stone Hills, 6 juin 1996, 15h00

« Et voici la fameuse "Maison extérieure"... », commença une jeune femme s'adressant à un groupe de touristes, devant un bus dont l'inscription peinte sur sa carrosserie clamait "Tour de l'Horreur". « ...Surnommée ainsi par rapport à la fameuse inscription gravée sur sa façade. La maison dans laquelle deux jeunes garçons ont disparu dans des circonstances mystérieuses, à seulement deux d'intervalle. Ashton et Mike, 12 et 14 ans à leur disparition, inséparables depuis leur petite enfance, avaient pour habitude de se retrouver régulièrement dans cette bâtisse qui fut le théâtre d'un autre événement dramatique bien des années auparavant. Le mystère qui entoure cette disparition reste entier: pas de trace de sang, pas d'empreintes exceptées celles des deux amis, et surtout, pas de corps, rien n'a pu fournir le moindre indice aux enquêteurs. Certains racontent qu'ils se seraient enfuis, d'autres qu'ils sont toujours en ville et se rient de notre incompréhension. La maison n'est malheureusement pas visitable. »

Aah j'ai bien cru que je ne le posterai jamais à temps xD

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Jeu 30 Nov - 12:10
Ankle a écrit:@Ange mortelle  je veux la fin !!
Elle meurt ?
Oui, c'est fort probable !

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Mer 6 Déc - 18:42
☆ Prénom : Isaure ou Perle
☆ Âge : 11 ans
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) : Ici
☆ Correction ? (oui ou non) :  Non, je pense me débrouiller.

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Dim 10 Déc - 16:26
@Himalaya on ne te voit plus ici !
Il est temps pour toi de choisir la gagnante, la date est dépassée de loin !
Reviens vite !! Wink

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Ven 4 Mai - 12:49
Himalaya a écrit:
☆ Prénom : Charlotte
☆ Âge : 14 ans 1/2
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) : https://endlessstories.forumactif.com/t1187-talking-to-the-moon-upsidedown-cavallina
☆ Correction ? (oui ou non) : Non merci ^^
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Mer 23 Mai - 15:46
Hey ! Je ne pense plus avoir le temps de m'occuper de cet atelier... Je suis désolée. Vous avez vraiment été nombreux.ses à y participer, et j'avoue que je ne m'attendais pas à tant de succès.
Ça me fait mal au coeur de l'arrêter, mais je n'ai pas le choix... Je n'ai pas le temps de m'en occuper, avec mes devoirs, le basket, les cours, l'arbitrage... Je suis vraiment sincèrement désolée.
Si l'une d'entre vous souhaite le reprendre, je vous en prie, dites-le moi. Je ne vous demanderais qu'une chose : si vous le reprenez, promettez-moi d'en prendre soin. Vous pourrez même utiliser ma façon de faire (les inscriptions, les corrections, etc.) si vous le souhaitez.
Voilà, encore une fois je suis désolée.

Himalaya.

P-S : la gagnante du concours est @AngeMortelle.

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Mer 23 Mai - 20:33
@Himalaya je comprends, c'est long de corriger, lire les textes.

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Jeu 24 Mai - 20:11
Ankle a écrit:Himalaya je comprends, c'est long de corriger, lire les textes.
merci I love you je suis vraiment vraiment vraiment désolée, ça m'attriste tellement...

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Ven 25 Mai - 16:42
@Himalaya

Je me propose pour reprendre ton atelier.
Si tu es d'accord, bien sûr. ^^

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Mer 17 Oct - 13:27
salut tout le monde ! (si ça intéresse encore des gens mdr)
je souhaite reprendre cet atelier.
je pense poster un nouveau thème ce week-end, dites-moi si vous souhaitez participer ! (;
/!\ si vous les vous inscrire, n'oubliez pas de remplir la fiche d'inscription qui se trouve dans le premier message de l'atelier ! /!\

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Ven 19 Oct - 15:59
☆ Prénom : //
☆ Âge : 18
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) : https://endlessstories.forumactif.com/t1325-une-grande-crevette-ebi-chan
☆ Correction ? (oui ou non) : Bien sûr ! (si tu as le temps & l'envie)

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Sam 20 Oct - 10:29
Ebi-chan a écrit:
☆ Prénom : //
☆ Âge : 18
☆ BAL (lien OBLIGATOIRE sous peine de se voir refuser l'inscription) : https://endlessstories.forumactif.com/t1325-une-grande-crevette-ebi-chan
☆ Correction ? (oui ou non) : Bien sûr ! (si tu as le temps & l'envie)
tu es inscrite (;
malheureusement, tu es la seule... je vais annoncer le thème et attendre mercredi voir s'il y a d'autres inscrites (;
je te recontacterai sur ta bal si tu veux (:

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Sam 20 Oct - 10:46
Skies are crying ~ Atelier d'écriture - Page 4 Penmanship
Thème n°2

Voici le thème n°2 !

    >> Vous retrouvez par hasard l'adresse d'un(e) de vos ami(e)s connu(e) au lycée. Vous décidez de lui écrire une lettre, en vous rappelant des moments vécus avec cette personne.

    >> La lettre doit avoir un locuteur (personne qui écrit) et un destinataire (personne qui reçoit) clairement définis. Vous l'écrirez au passé (lorsque vous racontez les souvenirs). Votre lettre devra faire au moins 20 lignes.


Bonne chance à tout le monde !

Date limite des inscriptions : 27 octobre.
Date limite de remise des lettres : 20 novembre.

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